Les Flamboyantes de Cusset #5

Les Flamboyantes #5 - Cusset - 2019
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Nous avions beaucoup aimé notre première visite de cette « fête médiévale et fantastique » l’année dernière. Alors, même si le ciel était bien gris aujourd’hui, nous sommes allés faire un petit tour à Cusset.

Plongée au Moyen-Age

Arrivés en fin de matinée, nous avons fait un premier petit tour vers les stands du Cours Lafayette avant de revenir place Victor Hugo vers la sauterelle géante de la compagnie Planète Vapeur.

Musique d’ambiance médiévale dans les rues recouvertes de paille et personnes costumées un peu partout, on est au Moyen-Age, c’est sûr !
Même les panneaux routiers sont cachés dans la zone de la fête et les restaurants affichent des menus spéciaux !

Quand les drapeaux volent

Parmi les animations proposées cette année, les lanceurs de drapeaux venus d’Italie, le Gruppo Storico Fivizzano, fait virevolter les couleurs au son des tambours. Un bien joli spectacle.

Des Chevaliers et des fauconniers

Place ensuite à la chevalerie Cours Lafayette, où nous assistons à un tournoi, avec la compagnie Cow Prod.

Après une petite balade dans les rues pour voir les échoppes (et quelques emplettes), nous sommes revenus voir les fauconniers des Géants du Ciel.
Les hiboux et chouettes n’en faisaient parfois qu’à leur tête mais le public était ravi de les voir de près dans les tribunes.

Nous sommes repartis vers 16h, heureux d’avoir passé quelques heures au Moyen-Age, malgré le ciel tout gris.

Un scénario et des nouveautés

Cette année, un scénario (« De l’ombre à la lumière ») se déroule tout au long du week-end et des surprises sont annoncées dans le programme. N’ayant passé que quelques heures, nous n’avons donc pas suivi cette histoire en toile de fond du festival, mais nous avons aimé les différentes animations et l’ambiance qui font des Flamboyantes un rendez-vous incontournable.

Les Flamboyantes #5 - Cusset - 2019

On souhaite que le soleil soit au rendez-vous demain pour la dernière journée des Flamboyantes cuvée 2019.

Parce qu’ici ça pétille !

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Le motif « Vichy » de cette nappe n’a pas toujours porté ce nom.
La toile de coton, initialement rayée, puis à carreaux (au début du XXe siècle), était produite à la filature des Grivats à Cusset.
Avec la visite de l’usine par Napoléon III, la mode sera lancée par les élégantes de la cité thermale. Et les nombreux curistes qui la visiteront ensuite ramèneront chez eux le tissu désormais connu comme le Vichy !

Sur cette jolie nappe Vichy, on a posé une bouteille d’eau de Vichy…parce qu’ici ça pétille !

Inspiré de "La Nappe aux carreaux rouges" de Pierre Bonnard

Inspiré du tableau « La Nappe aux carreaux rouges » ou « Le Déjeuner au chien » de Pierre Bonnard.
1910 – Collection privée

Parce qu’ici ça pétille !

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Le rouge à lèvres Rouge Baiser a été développé par Paul Baudecroux à Cusset, même si les publicités ont toujours mentionné Paris.
Tout le monde connait ce logo créé en 1949 par l’affichiste René Gruau.

Cette femme élégante doit apprécier les boissons avec des bulles.
Champagne ou eau de Vichy ? La trace de ses lèvres sur la bouteille nous donne une réponse.
Parce que, comme le dit le slogan, Rouge Baiser est « Le rouge à lèvres qui résiste à tout même aux baisers », et parce qu’ici ça pétille !

Rouge Baiser

Inspiré du logo Rouge Baiser de René Gruau

Merci à Baroq Magazine pour son article sur ce célèbre rouge à lèvres et toutes ces infos que je ne connaissais pas.